Il est vraiment temps de vous parler des trois soirées du festival Pint of Science 2018 que nous organisons (et nous ne sommes pas en avance !).
Autour du thème “Notre planète”, nous vous donnons rendez-vous du 14 au 16 mai en soirée au Sonart, bar parisien au 55 rue Pigalle.
Retrouvez la présentation du festival ici (PoS pour les intimes).
C’est dans le canapé de la cave du Sonart, 55 rue Jean-Baptiste Pigalle, que les intervenant·e·s présenteront leurs travaux et échangeront avec les curieu·ses·x présent·e·s (attention, sur inscription !). Pour tous celleux qui ne peuvent pas se déplacer, nous ferons notre possible pour enregistrer les interventions (captation audio) et faire des petits résumés des échanges sur ce site et sur les réseaux sociaux (tweets, photos, illustrations, mais pas de livetweet car pas de wifi dans la cave !)
Alors, c’est quoi le programme ?
Les soirées étant placées sous le thème “Notre Terre”, il sera principalement question de la nature et notre relation avec elle. La dernière soirée sera également l’occasion de découvrir la science de terrain dessinée ainsi que des projets de sciences participatives. Plus de détails :
Le lundi 14 [COMPLET], c’est Ana Cristiana Torres et Lise Bourdeau Lepage qui ouvrent le bal avec pour sujet la nature en ville
“A-t-on besoin de la nature en ville ?”
Ah, le retour de la biodiversité dans nos rues, la reconquête du végétal sur le béton ! Et nous dans tout ça ? La reconnection entre l’urbain et le naturel, ce n’est pas que pour les plantes ! On vous propose donc de venir discuter des enjeux sociaux et sociétaux de la nature en ville avec nos invités.
Ensuite, le mardi 15 mai [COMPLET], Margaux Alarçon et Valérie Chansigaud parlerons de notre relation compliquée avec cette nature
“L’humain et la nature, une relation compliquée”
Il est devenu courant de dire que nous vivons aujourd’hui dans un monde hyperconnecté. Pourtant, s’il est une connexion qui peut nous sembler plus fugace, c’est bien celle qui nous relie à la nature. A-t-on vraiment perdu progressivement le contact avec celle-ci ? Et si c’est le cas, pourquoi et comment le restaurer ? Une soirée d’échanges autour de nos expériences de nature.
Et pour terminer, mercredi 16 mai Jim Jourdane et Jean-François Cosson nous présenterons la science de terrain à travers leurs projets participatifs [RESERVER UNE PLACE]
“Les tribulations de la science de terrain”
Oubliez les scientifiques en blouse blanche dans leur laboratoire ou devant leur ordinateur et découvrez les joies (ou infortunes) de la recherche en mission sur le terrain : se faire mordre les fesses par un phoque, se faire voler le papier toilette par des singes, faire la chasse aux tiques… La science de terrain n’est pas toujours de tout repos.